RDC/POLITIQUE :L’AGGO parti Ultra kabiliste maintient sa pression pour arracher le 24 janvier
Par Oscar Lukusa
L’avenir du Grand Congo, AGCO en sigle, parti Ultra kabiliste , a activé , il y a quelques mois une démarche salutaire visiblement très ardue et engagée, mais pas impossible, selon l’Initiateur et président national de ce Parti, Lusey Mbueso Jean Calvin . Dans sa première sortie médiatique sur top Congo FM, il a sollicité auprès du Président de la République la signature d’une Ordonnance portant commémoration de la date du 24 janvier 2019. « Cette date est très significative pour notre pays car elle renferme deux grands points ayant une connotation scientifico-politique ».
Toujours selon le Président National de l’AGCO, nos enfants doivent apprendre sur le banc de l’école que la République Démocratique du Congo a connu sa première alternance pacifique le 24 janvier2019 et que de son vivant, Emery Patrice Lumumba, Héros National, avait bel et bien dit que l’histoire de ce pays ne s’écrira qu’au Congo et par les congolais. Concernant l’aspect politique, cette date doit être annuellement commémorée et gravée dans les annales de la RDC, a-t-il déclaré.
Rappelons que Lusey Mbueso Jean Calvin, kabiliste endurci, avait déjà convoqué un atelier de réflexion au fleuve Congo hôtel pendant plus de 48 heures dans la Salle Accra de 09 h à 16 h. Il associer les haut-cadres et cadres de son parti ainsi que les ASBL à fin de préparer un mémorandum qui sera déposé à la présidence de la République, au parlement étant parti extra parlementaire et à la primature.
l’AGCO l’oreille du peuple se sent dans l’obligation de continuer cette démarche noble et historique qui restera à jamais reconnue dans l’histoire de la RDC mais tout en pérennisant le kabilisme. Le Président National de l’AGCO lance un appel à toutes les structures, formations politiques, ONG et Asbl à rejoindre cette initiative pour l’intérêt du pays.
L’Avenir du Grand Congo a projète incessamment des grandes marches publiques et pacifiques sur toute l’étendue du territoire national en commençant par Kinshasa, pour prier au chef de l’État de baptiser une des artères principale ; « l’Avenue de l’Alternance ».
