GESTION DES FORETS EN RDC: LE MINISTRE HONORAIRE Claude NYAMUGABO ESSUIE DES TIRS NON CADRÉS

Depuis 48 heures, l’opinion assiste à l’exhumation d’un rapport de l’inspection Générale des Finances datant de mai 2021.
Un rapport qui fait suite à la demande du Gouvernement de la République sous la houlette alors du Professeur Sylvestre ILUNGA ILILUNKAMBA qui avait commandé en son temps cette inspection en vue d’améliorer la gestion du secteur de l’Environnement.

Tâche à laquelle s’était attelé à remplir avec dignité et professionnalisme le Ministre de l’environnement et développement durable d’alors, Maître Claude NYAMUGABO Bazibuhe, dont d’ailleurs les performances ont été vantées par tous au cours des 20 mois d’exercice de ses fonctions, à l’exception bien de quelques ONGs friandes de financements indus et qui se livrent à des chantages ignominieux.

A première vue, ces ONGs ont pris la dangereuse et improductive initiative de payer quelques médias afin de déformer la vérité contenue dans le rapport de l’IGF pour des fins qu’elles ne maîtrisent pas du tout.
Dans des articles où les ouï-dire prennent les dessus, transparaît malheureusement l’intention manifeste de nuire à la réputation d’un Homme politique dont l’ascension fulgurante semble déranger certains adversaires politiques.

Associer le nom de Maître Claude NYAMUGABO à la mauvaise gouvernance relève simplement de la mauvaise foi car il est de notoriété publique que c’est lui qui avait initié cette revue des concessions forestières avec l’appui de l’agence française de Développement par le recrutement d’un cabinet international chargé de ce travail.
Bien plus, en son temps, il avait organisé les travaux d’élaboration d’un document de la politique forestière de la RDC qui devrait jeter les jalons de la révision du Code forestier dont certaines dispositions devraient être actualisees.

Quand on lit l’article de 7sur 7.cd, on y perçoit rien d’autre que de l’acharnement. Une véritable volée de bois vert téléguidée par des organisations comme Greenpeace dont les activités n’ont rien apporté à ce pays en terme de développement sauf d’enrichir la petite fourchette des agents internationaux qui y travaillent.

Pour renter à la fameuse vente des concessions forestières, il convient de bien préciser que Maître NYAMUGABO n’avait jamais cédé de nouvelles concessions forestières mais avait, en adéquation avec la loi en vigueur procédé à la reattribution des concessions déjà existantes car ceux qui en disposaient ne respectaient pas la législation.
Et surtout que l’argent perçu dans ce cadre a bel et bien atterri dans les comptes du trésor public par l’entremise de la Direction générale des recettes administratives, domaniales et des participations ( DGRAD).
En témoigne d’ailleurs le fait que sous Claude NYAMUGABO, les assignations budgétaires du Ministère de l’environnement atteignaient plus de 120% depuis son accession à la tête du MEDD. Les auteurs de ces articles ne se demandaient pas d’où venait cet argent qui avait pour objectif principal de contribuer substantiellement à lutter contre la pauvreté des communautés qui vivent de ces forêts mais qui malheureusement ne reçoivent rien de ces ONGs dont le rôle principal est d’organiser d’interminables séminaires-ateliers de renforcement des capacités et desquelles la République ne tire pratiquement rien.

À la lecture des recommandations du rapport contenues à la page 13, on sait voir que ces articles et les tweets obsolètes récupérés par des roublards gourmands de scoops ont un seul objectif: écorcher la réputation d’un personnage politique dont l’ascension fulgurante fait peur surtout à la veille d’une nouvelle reconfiguration politique quelques mois avant des scrutins vivement attendus.

Les frais perçus par l’État congolais pour gonfler les assignations budgétaires du Ministère de l’environnement et développement durable sous Claude NYAMUGABO provenaient des versements effectués à la banque par les différentes entreprises bénéficiaires des reattributions des concessions forestières.
Et toujours au niveau de la page 13,il est relevé que seul Claude NYAMUGABO a respecté la procédure étatique en vigueur concernant les exigences des paiements des droits dus à l’État.
Dans les élucubrations rendues publiques dans ces articles commandés, on impute mêmes des redevances devant être perçues par le Ministère sous Claude NYAMUGABO alors qu’elles relèvent plutôt des gouvernements provinciaux au travers de leurs régies provinciales des recettes.

Autre enormité,l’on se demande quand est-ce que Jean-Paul NEMOYATO a été ministre de l’environnement dans ce pays.

Pour ne rien arranger, ces mensonges tous cousus de fil blanc par ces ONGs comme Greenpeace sont repris avec résignation et humilité par des médias visiblement à coup des billets verts.
Pourquoi personne ne dit dans son article que Claude NYAMUGABO, fervent défenseur en son temps du reboisement au travers du projet: »Jardin sscolaires, 1 milliard d’arbres à l’horizon 2023″a autorisé des reattributions après avis des organes étatiques habilités pour des contrats de conservation et non d’exploitation comme on le fait croire à l’opinion?

Des articles sont chauffés et réchauffés à souhait afin de nuire mais ne parvenant toujours pas à toucher la cible,ce digne Avocat et Doctorant en Droit qui n’a jamais eu affaire à la justice durant ses 50 ans d’existence.

Cellule de Communication de l’Honorable Claude NYAMUGABO

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