RDC/Kinshasa : Le nouveau roman du Professeur Gaston Mabaya porté aux fonds baptismaux

Par Christian Emmanuel Elumba

La Grande salle de la Bibliothèque du Centre Wallonie-Bruxelles(CWB) de Kinshasa-Gombe, la Mecque de la culture livresque de la République Démocratique du Congo, a vit pour une foi de plus, la naissance d’un nouveau-né, le mardi 31 mai dernier il s’agit du roman « L’ Hôpital. Le Manuscrit de Mon Père » du Professeur Gaston Mabaya, un auteur qui annonce que son livre qui revient tout droit du Canada et il a préféré que son dernier ouvrage soit présenté dans la capitale de son pays là où il a été formé, l’une de façon de remercier ses encadreurs du Centre Wallonie Bruxelles.

Le Professeur Gaston Mabaya est un Ingénieur en électricité, ressortissant de l’Université de Kinshasa (UNIKIN) en République démocratique du Congo, Docteur en Sciences Appliquées, spécialisé en fibres optiques de l’Université de Gand en Belgique. Docteur Mabaya est Professeur d’Universités, Doyen honoraire de la Faculté de Polytechnique de l’UNIKIN, chercheur, consultant international, écrivain bilingue (français-anglais) et Diacre permanent au diocèse de London (Ontario) au Canada. Auteur de plusieurs livres, Docteur Mabaya est passionné de littérature et d’éducation.

« L’Hôpital. Le Manuscrit de mon père » est le tout récent ouvrage publié par Professeur Gaston Mabaya qui a intervenu pour une présentation critique de l’ouvrage, a indiqué que ce roman raconte des anecdotes en escale à l’aéroport d’Ankara (Turquie), le manuscrit de la biographie de son père en main, Jean-Barthélemy Bulamatari se sent drainé en extase par la présence inopinée de ses anciens condisciples d’Université, Jean-Jacques Simonet et Francine Boulanger.

Cette rencontre ouvre la voie aux supputations on ne peut plus énigmatiques. Non seulement Jean-Jacques et Francine, paraissant en couple, suscitent la jalousie de Jean-Barthélemy, mais celui-ci se fait envahir par le désir amoureux d’une inconnue, Barbara Foch, intellectuelle et pourtant frivole à la limite. C’est dans le salon VIP de l’aéroport d’Ankara que se tissent toutes les envies autour du manuscrit de Jean-François Emmanuel Bulamatari. Nous nous situons ici au centre de vraies intrigues qui nourrissent ce volume, le premier tome de la trilogie qui nous révèle les aspirations secrètes de Barbara Foch (Tome 2) et les mémoires de Jean-François Emmanuel Bulamatari, disciple de Voltaire (Tome 3).

En effet, ce roman intitulé « l’Hôpital. Le Manuscrit de Mon Père » est l’oeuvre de Professeur Gaston Mabaya. Cet ouvrage a été édité au Canada dans les éditions de la francophonie. L’identité de ce livre est du genre masculin avec 25,5 sur 12 cm en couverture toute en couleur sous papier couché double face et un dos de 2 cm où sont repris le nom de l’auteur, le titre principal, le numéro du tome ainsi que la marque de l’éditeur.

Parmi les paratextes, il y a la page de couverture qui parle sans s’arrêter, en haut on a un avion curieusement s’agissant d’un voyage de conférence soit d’affaire. Cet avion est en plein vol vers le point de départ. Au dessus de lui, il y a des papiers apparenment comme des manuscrits de son père.

Présenté par le public assoiffé de la littérature du Centre Wallonie Bruxelles à Kinshasa, grâce à une recension impeccable de Munkulu Du Déni avec des commentaires avant-gardistes toujours epiçant de Directeur de la Bibliothèque du Centre Walonnie Bruxelles, l’écrivain Richard Ali et porté aux fonds baptismaux par le Professeur Isidor Ndaywel.

Notons que, La cérémonie du vernissage du livre « L’Hôpital. Le Manuscrit de Mon Père » s’est clôturé par une vente promotionnelle dans la salle ayant abrité l’événement. Une dizaine des personnes ont souscrit en premier pour acheter ce livre à 35 dollars américains.

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