RDC/Sondage Echos d’opinion,Blandine Kawanda et Victor Tumba plébiscités par les populations comme les meilleurs mandataires totalement impliqués dans la vision du chef de l’Etat

Pour permettre au gouvernement de la République de disposer des moyens devant lui permettre de réaliser la vision du chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, coulée sous forme de programme, le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, a déterminé à chaque régie financière les assignations à atteindre au cours de l’exercice en cours. Cela explique les contrats de performance que le ministre des finances a signés avec les directeurs généraux des régies financières. Au terme d’un sondage réalisé sur l’ensemble du territoire national, le Directeur général de la direction générale des douanes et accises, a su tirer son épingle du jeu au regard du temps relativement court pendant lequel elle est parvenue à mobiliser autant de recettes. Jeanne Blandine Kawanda: Direction générale des douanes et accises 

C’est depuis le vendredi 3 décembre 2021 que le chef de l’Etat a nommé par ordonnance présidentielle Mme Jeanne Blandine Kawanda aux fonctions de Directeur général  de la Direction générale des douanes et accises-DGDA. Dès sa prise de fonction, le directeur général Kawanda a commencé par se pencher sur le social du personnel, en améliorant les conditions de vie et de travail. Car, se dit-elle, l’on ne peut engager une lutte farouche contre la fraude avec des agents et cadres qui ne vivent pas dans de bonnes conditions. Par ailleurs, en vue de réaliser voire aller au-delà des assignations fixées par le gouvernement de la République par le biais du ministère des finances; le DG Blandine Kawanda a remobilisé les directeurs centraux et provinciaux dans le but de bien remplir le contrat de performance signé avec le ministère des Finances. Pour elle, «il était temps d’échanger froidement et sincèrement entre enfants-maison de la grande famille douanière pour relever les frustrations et les raisons qui plombent les recettes dans chacune des provinces douanières, ainsi que les propositions des mesures d’encadrement en vue d’améliorer l’image de marque de l’administration douanière».

Elle s’est dite persuadée que la DGDA a déjà mis en œuvre plusieurs réformes innovantes susceptibles de soutenir la mobilisation accrue des recettes du Trésor. Pour elle, il est question de les appliquer correctement et le résultat s’en suivra.

A cette occasion, Mme Jeanne Blandine Kawanda a appelé les Directeurs centraux et provinciaux à la prise de conscience professionnelle et au sens de responsabilité pour atteindre leurs assignations. « Je voudrais vous rappeler que la Loi des Finances de l’exercice comptable 2022 assigne à la DGDA un objectif des recettes de l’ordre de 456 900 000 000 Francs congolais qui ont été répartis à chacune des provinces douanières par mois et par semestre en tenant compte de son potentiel fiscal», a-t-elle martelé.

Pour étayer ses propos, elle a fait allusion à l’analyse, grâce à la base des données de Sydonia, des cahiers de la mesure de performance, la gestion électronique des contentieux, l’exploitation des données communiquées dans le cadre des AAMA et par les bureaux de représentation de la DGDA, le circuit orange ainsi que la classification des emplois suivant le programme MADAO de l’Organisation mondiale des douanes-OMD.

Aujourd’hui, les résultats sont là, incontestables: les recettes mobilisées par la Direction générale des douanes et accises s’élèvent à 329 milliards de Francs congolais (CDF), soit 82% des prévisions du mois de juillet 2022 arrêtées à 403,6 milliards de Francs congolais (CDF). Les observateurs s’accordent à noter que dans l’histoire de cette régie financière, autant d’argent n’a jamais été mobilisé en très peu de temps. Et il ne fait pas de doute que d’ici la fin de l’année 2022, les assignations fixées à la DGDA seront bien réalisées, voire dépassées. C’est dire que l’actuel Directeur général a été bien compris par l’ensemble de son personnel qui l’a accompagné dans la mise en œuvre des directives gouvernementales. Ce faisant, Jeanne Blandine Kawanda s’inscrit parfaitement dans la vision du président de la République, Félix Tshisekedi. 

Il sied de signaler que la Direction générale des douanes et accises est garante du respect des lois et règlements en matière de douanes et accises. A cet effet, elle est spécialement chargée de soumettre à l’autorité compétente les projets de textes légaux et réglementaires en la matière ainsi que les projets de leur modification. 

 Victor Tumba Tshikela: Office des voiries et drainage

Fonctionnaire au grand parcours, Victor Tumba a une expertise avérée qui a certainement retenu l’attention du président de la République. Il a vu naitre le Ministère de l’Aménagement du Territoire où il a assumé d’un ministre à l’autre les fonctions de Directeur de cabinet.

Réhabilité dans ses fonctions de Directeur général de l’Office des voiries et drainage, Victor Tumba s’est fait remarquer dans un premier temps par l’inauguration, par le chef de l’Etat, des sauts de mouton, et dans un second temps, par le vent nouveau qu’il a insufflé au sein de cet établissement public. A cela rien d’étonnant, d’autant que le DG est conscient de l’importance des routes en tant que facteur de développement d’un pays. Et que le bon travail ne peut se faire, quels que soient les moyens, que par des agents et cadres effectivement motivés et conscients de leurs responsabilités. 

Ce manager s’est aussi employé dans l’augmentation des flux dans le cadre des opérations des échanges dans l’espace géographique. Alors qu’il avait hérité d’une situation jugée catastrophique due à l’enlisement du programme des 100 jours, Victor Tumba est parvenu à remonter la pente en redonnant le sourire aux habitants de la ville de Kinshasa. 

En effet, malgré le ralentissement des activités causé par la pandémie de Covid-19, le Directeur général a fourni des efforts pour la mise en œuvre de la vision du chef de l’État qui avait lancé  le projet Tshilejelu avec l’espace pilote du Grand Kasaï et la ville de Kinshasa. A ce propos, l’Office des voiries et drainage a annoncé avoir exécuté à hauteur de 90% les travaux du programme Tshilejelu dans la ville de Mbuji-Mayi, dans la province du Kasaï Oriental. A l’en croire, les artères principales de cette ville sont de nouveau praticables pour tous les engins roulants ainsi que les piétons.

De même, le DG de l’OVD a réussi à réaliser à un niveau élevé le projet “zéro trou dans la ville Kinshasa” dont l’évolution des travaux est visible sur les grandes artères de la capitale. 

Grâce au mécanisme de collaboration mis en place par l’actuel cDG Victor Tumba, chaque Direction provinciale de l’OVD reçoit les fonds du programme d’entretien routier –PER- pour lui permettre d’améliorer les voiries
urbaines et périurbaines. Le Directeur général a également initié le programme de dotation d’équipements à chaque province d’au moins une brigade. Ainsi, chaque province peut être en mesure de réaliser au moins  10 Km de voiries asphaltées sans oublier les chefs- lieux des territoires. Ce qui traduit la volonté de développer l’espace national à partir de la base, c’est-à-dire un développement autocentré partant de la base. De la sorte, le Directeur général Tumba est convaincu de l’impact considérable des travaux sur le développement économique et social étant donné qu’en reliant les différents centres de production et de consommation du pays, l’offre rencontre la demande sur le marché, et ainsi, l’on provoque la croissance économique. Car, en observant le principe moderne de gestion basé sur le résultat (GAR),  l’Office des voiries et drainage contribue à  l’augmentation de la production et à la réduction de la pauvreté. De ce fait, le Directeur général Victor Tumba accompagne le chef de l’Etat dans ses efforts pour améliorer la situation sociale de la population.

Rappelons que l’OVD est une entreprise publique créée par Ordonnance n°87-331 du 16 septembre 1987. Il est une entreprise publique à caractère technique dotée de la personnalité juridique et jouissant d’une autonomie administrative et financière.
Conformément à l’objet de sa création, l’OVD est chargé entre autres d’entretenir, d’aménager, de moderniser et de développer les infrastructures urbaines de voirie et de drainage; d’exécuter ou de faire exécuter toutes les études nécessaires à la définition, la programmation et la réalisation des travaux de voirie et de drainage Il s’agit également pour l’OVD, d’exécuter ou de faire exécuter les travaux neufs ou d’entretien relatifs aux réseaux de voirie et de drainage des agglomérations suivant les programmes établis ou proposés par la commission routière concernée. 

Lucien Ekofo Bonyeme: Société nationale d’assurances

Il a hérité d’une société publique appelée à travailler dans un contexte de concurrence à cause de l’arrivée de nouvelles sociétés d’assurances. Mais, cela n’a pas diminué la volonté du Directeur général de la société nationale d’assurances -SONAS- d’aller de l’avant, de satisfaire les besoins du peuple congolais. Pour atteindre cet objectif, il a mis en place un plan managérial qui, en si peu de temps, lui a permis de redorer le blason terni de cette entreprise du portefeuille de l’Etat. Pour cette raison, il a reçu les encouragements du chef de l’Etat. La paix sociale dans laquelle vivent les salariés de la Sonas, est un indicateur majeur de la qualité de son travail. La société nationale d’assurance tire bien son épingle du jeu en contribuant dans la maximisation des recettes de l’Etat, et en assistant, comme il se doit, les sinistrés. Avec les produits mis sur le marché, la Sonas s’impose sur d’autres assureurs dans un environnement concurrentiel.

Barnabé Muakadi: Direction générale des Impôts

Evènement historique à la Direction générale des impôts –DGI-, d’autant plus qu’au cours de l’échéance du 30 avril 2022 qui a été ramenée conformément aux dispositions légales en vigueur au 29 avril 2022, la DGI a réalisé les recettes jamais accomplies qui se chiffrent à 3.000 milliards de francs congolais, soit 1,5 milliards de dollars Us. Pour atteindre ces performances, la DGI s’est basée sur trois facteurs principaux. De la vision du président de la République dictée par la mobilisation durable des recettes, des orientations données par le Ministère des finances dans le cadre du dialogue de gestion, la DGI sous le leadership de son Directeur général Barnabé Muakadi a mis en place un plan stratégique de réalisation des recettes.

En effet, au 30 avril 2022, la DGI a réalisé les recettes qui se chiffrent à 3.000 milliards de Francs congolais, soit 1,5 milliards de dollars Us.

Commençant par la vision du président de la République en matière de mobilisation durable des recettes fiscales, la Direction générale a rappelé que dans tous les  discours d’orientations donnés par le président de la République, il est revenu sur la question de la promotion du civisme fiscal en RDC, ainsi que sur la lutte contre la fraude fiscale ou toute forme d’évasion fiscale.

En plus de la vision du président de la République, il y a aussi les mesures d’accompagnement des régies financières prises par le gouvernement de la République, surtout au niveau du ministère des Finances. A ce propos, le ministre Nicolas Kazadi a institué le dialogue de gestion qui repose sur les engagements  que prennent les régies financières dans le cadre des contrats de performance. De cette politique initiée par le ministère des Finances, il est question de demander à ce que la régies financières, mieux la DGI mette en place une stratégie qui puisse permettre de concrétiser à la fois la vision du président de la République et les engagements pris par les régies financières.

L’orientation donnée par le ministre des Finances repose sur deux axes pour l’année 2022. Le premier axe : consolider la tendance haussière qui a été observée depuis l’année passée. A ce sujet, le DG Barnabé Muakadi a indiqué qu’il ne fallait pas en 2022 mobiliser moins de recettes que celles réalisées en 2021. Il faut noter qu’en 2021, la DGI a réalisé de manière globale les recettes au-delà des prévisions, dégageant un taux de réalisation de 130%. Ce qui fait que cette tendance haussière devait être maintenue en 2022. C’est le vrai challenge pour la mobilisation des recettes en 2022.

Comme deuxième axe: insister sur la numérisation et la digitalisation de toutes les procédures. Tant de la déclaration des impôts que le procédé de paiement et en faire un suivi régulier.

Parmi les plans de réalisation des recettes, la DGI a eu à rétablir le bon fonctionnement  de la TVA en restaurant la chaine de sa collecte et en l’appliquant aux sociétés minières. Il y a aussi la réforme des régimes fiscaux préférentiels ainsi que toutes les conventions ou les accords qui prévoient des exonérations fiscales, sauf dans le code actuellement en vigueur. 

Enfin, il fallait corriger les inégalités  constatées dans le cadre de la perception de l’IPR entre le secteur privé et le secteur public, parce que depuis longtemps, cet impôt n’était supporté dans sa totalité que par le personnel du secteur privé. Pour corriger  cette inégalité, la DGI sous le leadership de son Dg Barnabé Muakadi s’est employée à corriger pour que  cet IPR, dans le cadre de l’élargissement de l’assiette fiscale, soit également à charge du personnel public, notamment les agents et les fonctionnaires de l’Etat, les engagés locaux des ambassades et des organismes internationaux, tout le personnel des agences d’exécution.

Ce qui fait que maintenant, à ce titre, la couverture de l’IPR ne concerne pas seulement le personnel du secteur privé, il a eu son élargissement jusqu’à toucher les autres secteurs d’activités. Et de toutes ces stratégies, chacune a eu à apporter sa contribution.

Sondage Echos d’opinion

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