RDC/ DGCMP:Travaux de réhabilitation de l’ex hôpital Mama Yemo,le DG ai Michel Ngongo injustement accusé !

Par JMB

Michel Ngongo Salumu, Directeur général intérimaire de la Direction générale des marchés publics -DGCMP- a dernièrement été accusé par des esprits malveillants à propos du  marché relatif à la réhabilitation de l’hôpital général de référence de Kinshasa, ex-Mama Yemo. A ce jour, ce marché n’est encore attribué à aucun soumissionnaire. Mais, sans attendre l’aboutissement de la procédure en la matière, ses détracteurs ont vite fait de parler de corruption, sans pour autant étaler des preuves conséquentes. Soucieux de tirer cette affaire au clair, le Directeur général intérimaire de la Direction chargée de l’attribution des marchés publics, a jugé utile de fournir des explications que nul ne peut contester, à moins d’être de mauvaise foi.

D’entrée de jeu, le Directeur général Michel Ngongo Salumu fait savoir que le dossier de l’hôpital général de référence de Kinshasa a été traité et transmis à la DGCMP par le Bureau central de coordination –BCECO- en sa qualité de maître d’ouvrage délégué ce, à la demande du ministère de la santé. Après examen dudit dossier, la DGCMP a requis des éclaircissements sur les observations soulevées dans son rapport. Après les avoir obtenues, le service a émis l’avis de non objection audit rapport d’évaluation. C’est dire que l’attribution du marché ne peut se faire que suivant les critères de conformité et ceux de qualification, pour ensuite se pencher sur l’entreprise moins disante après élimination de celles qui n’auront pas rempli les critères.

Une agitation sans fondement

La conclusion de ce rapport a été publiée par le service sur le site de l’Autorité de régulation des marchés publics. Ce, pour donner la possibilité aux soumissionnaires non retenus de faire prévaloir leur droit de recours gracieux auprès du BCECO. S’ils n’obtiennent pas satisfaction, les mêmes soumissionnaires peuvent alors se tourner vers le Comité de règlement des différents, et si c’est nécessaire, vers la justice.

Le Directeur général précise même que le contrat est encore non signé puisque l’autorité approbatrice qu’est le Premier ministre n’a pas encore approuvé ledit marché. Dès lors, il ne s’explique pas cette agitation autour dudit dossier.

En conséquence, le Directeur général estime que la corruption n’existe que dans la tête de ceux qui en parlent, étant donné qu’il n’agit pas seul sur les dossiers des marchés publics. Cette tâche, spécifie-t-il, revient aux commissions spécialisées qui siègent, statuent sur les dossiers et prennent les décisions dans le respect des textes en vigueur sur les marchés publics. Ensuite, elles notifient aux autorités contractantes ayant saisi ce service public, les différentes décisions prises par elles.  Pour lui, donc, l’on devrait savoir que le marché public est un secteur technique qui requiert un examen minutieux avant toute décision.

Ceux qui accusent le Directeur général Michel Ngongo Salumu de corruption, le font par mauvaise foi, surtout en cette période où l’on attend la nomination des mandataires des entreprises et services publics.

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