LES POURFENDEURSDE PATRICE KITEBI S’EN PRENNENT A SES COLLABORATEURS.

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LORSQUE LES POURFENDEURS DE PATRICE KITEBI S’EN PRENNENT A SES COLLABORATEURS.

1. C’EST VRAI QUE LE RIDICULE NE TUE PAS

On ne le dira jamais assez, le Directeur Général du FPI, Monsieur Patrice KITEBI, fait les frais de son engagement dans le processus de recouvrement forcé face à un portefeuille malsain plein des dossiers de complaisance et fictifs (voir les rapports, d’une part, parlementaire du FPI 2015, ayant demandé des poursuites judiciaires du dirigeant de l’époque et, d’autre part, celui du conseiller spécial en charge de la corruption qui sont toujours pendants en Justice ), relevant surtout des dossiers partiellement décaissés pour lesquels les opérateurs économiques ont été des victimes des rétro commissions.
Des distributions des notifications de prêt qui faisaient suite à ces mêmes paiements des rétro-commissions à l’avance et/ou en leur exigeant des prises de participation dans leurs sociétés à travers des prête-noms, notamment des belles-sœurs, épouse, beaux-frères et bien d’autres proches du clan. Le ridicule ne tuant pas et au regard des faits, l’histoire retiendra que nous avons là un voleur et corrompu que le FPI, en particulier et le pays en général n’a jamais connu, qui du reste crie au voleur…Quelle honte!
Il est curieux de constater qu’à chaque fois que le FPI est dans une démarche de recouvrement, de son propre fait, celui des tiers, ou de la justice, une coterie à la base des méfaits du passé, très remontée, s’attaque à KITEBI en le traitant de tous les maux par les auteurs intellectuels, commanditaires et organisateurs des insolvabilités tant décriées du FPI. Avec des affirmations fallacieuses, ils se dressent en envahissant les réseaux sociaux pour détourner l’opinion nationale de la véritable vermine qui a conduit le FPI, avec le concours de toute sa famille biologique et sa belle-famille, dans le gouffre.
Après avoir échoué à déstabiliser l’actuel manager du FPI, ses détracteurs s’en prennent aujourd’hui à ses collaborateurs contre lesquels ils profèrent des fausses accusations dans les réseaux sociaux. Pour ceux qui connaissent bien l’ancien ADG, ils s’avent incontestablement que mentir est sa seconde nature ; même en tant qu’agent, il avait toujours excellé dans les intrigues, les mensonges et les manipulations. Ainsi, pour se créer une opinion positive au sein de la population, LES MBENGELISTES activent leur laboratoire des FAKENEWS, une entreprise diabolique pour larguer une pile de fausses nouvelles.
Leurs dernières victimes sont les assistants du DG KITEBI, Messieurs AMISSI et KALENGA. Curieusement, ce dernier, particulièrement, continue de faire l’objet d’acharnement et de haine véhiculé comme par le passé par la fameuse coterie qui avait transformé le FPI en un bien familial. Sans honte ni gène, ces paranoïaques projettent leurs antivaleurs et vices méphistophéliques sur l’agent KALENGA qu’ils avaient tenté, à maintes reprises, de révoquer sur base des colportages et calomnies, activités principales dans lesquelles cette coterie a excellé et continue à les exercer. Ils tentent aujourd’hui sans succès de véhiculer, par procuration, leur haine viscérale auprès de l’actuelle équipe dirigeante du FPI. D’aucun se souvient des démarches, des messages, des contacts, des visites auprès des actuels gestionnaires de cet établissement public, pour qu’à n’importe quel prix, ils obtiennent le départ de Monsieur KALENGA du FPI.

2. DES REVELATIONS INCONTESTABLES

Alors qu’ils avaient le pouvoir administratif, hiérarchique, économique et même les influences politiques, ils n’ont jamais établi une quelconque responsabilité à charge de Monsieur KALENGA à la suite des montages bidon menés en famille. Déféré devant plusieurs commissions de disciplines qui n’ont toutes été que des pamphlets et des échecs cuisants, les précités paranoïaques, ne s’étant pas arrêtés là, ont poussé le ridicule plus loin et s’étaient même permis de traduire Monsieur KALENGA en justice avec le projet « Ets JESUS SEUL », dossier dans lequel le propre frère de l’ADG MBENGELE KWETE, Mr. DIMANINAYI KWETE Pierre avait été formellement identifié comme étant l’auteur des faits portés contre un innocent. Celui-ci n’a fait l’objet d’aucune action disciplinaire de la part de son protecteur de grand frère. Par contre, l’action judiciaire contre KALENGA a été classée sans suite pour faits non établis à sa charge par le Parquet Général de Kinshasa/Matete, en date du 24/08/2016. Ce promoteur est un très proche et un habitué de la famille Mbengele qui avait été contacté, encadré et traité aux petits soins par l’épouse de l’ADG Mbengele, Mme Monique KATWALA. Allez-y comprendre quelque chose.
Par ailleurs, c’est toujours les voleurs qui crient au voleur et, selon les informations en notre possession, le dossier évoqué dans leur texte plein de fautes, en rapport avec le titre retrouvé à la TMB Lubumbashi, tout le monde sait qu’après le départ de Monsieur KALENGA (témoin gênant) de la direction juridique, c’est Monsieur DIMANINAYI KWETE qu’il a remplacé et propulsé par un enjambement, allant de chef de bureau adjoint à Fondé de Pouvoirs, puis sous-directeur quelques mois plus tard, dans le seul but de consolider la gestion familiale du FPI. Bien que le promoteur du dossier dont question a quasi apuré à ce jour ses engagements dans les livres du FPI, il n’est un secret pour personne que ce titre lui avait été remis par un haut responsable du FPI de l’ époque à l’Hôtel du Fleuve pour lui permettre de compenser et de compléter par un autre prêt à la TMB Lubumbashi, les pertes qu’il avait subies en remettant au champion des rétros commissions, des montants importants lors de la libération dudit prêt. Malheureusement pour la coterie et heureusement pour le FPI, le titre entre les mains du débiteur avait été annulé par le conservateur de Lubumbashi grâce à l’action de Mr KALENGA sur qui ils avaient voulu faire endosserleur forfaiture. Au moment où nous écrivons, MrMbengele et sa bande ne savent même pas que c’est le duplicata dudit titre, du reste frappé d’inscription hypothécaire qui est au coffre-fort et sécurise le petit solde restant dû par le promoteur.
Parlant de Lubumbashi, quel agent et/ou cadre du FPI oublierait le scandale de la bagarre généralisée entre les neveux et les frères du DG MBENGELE à la Brioche, à Lubumbashi, à la suite d’une mauvaise distribution de la rétro commission de 100.000$ leur envoyée par leur ainé Mbengele depuis Kinshasa au siège de FPI, après avoir libéré un acompte de 500.000$ du financement du dossier des Ets DIEU M’A DONNE. Un dossier disciplinaire avait été ouvert. Sur instruction de la Direction Générale, ce dossier avait été stoppé net comme tant d’autres. Heureusement, plusieurs agents du FPI détiennent encore les copies des PV d’auditions entamées à l’initiative du Directeur Provincial de l’époque.
Quelle honte pour ceux qui s’autoproclament meilleurs gestionnaires, icones de la bonne gouvernance, alors que tout le monde sait qui a fait d’eux ce qu’ils sont devenus aujourd’hui. Pourtant, qu’il y a quelques années personne ne pouvait porter un regard sur eux. Une bande des complexés, des aigris et de petits esprits qui n’ont fait que cracher dans les différentes mains qui les ont nourries et élevées dans la société. L’histoire se répète toujours.
Veut-on maintenant empêcher même aux tiers de pouvoir dénoncer et ressortir les icebergs montés dans le passé et qui sont à la base du portefeuille malsain et des impayés que traine le FPI depuis des années ? Initier un contrôle, un recouvrement, procéder à des permutations, superviser certaines subventions de complaisance et autres projets fictifs dont 99 projets de 2010 à fin octobre 2016 pour une bagatelle somme de 73 millions de $US, devient un crime de l’aise majesté.
Quel lien il y a-t-il entre une dénonciation faite par le Directeur de cabinet du Ministre des Affaires Foncières sur un dossier instruit et bouclé en 2012 (ETS DAKO, une dame très proche de la famille MBENGELE), et Patrice KITEBI ainsi que son assistant KALENGA pour mériter des injures et des parjures alors que la justice a été saisie. Qui se sent morveux qu’il se mouche.
Ne pensez pas qu’en allant chercher un blanchissement dans les autres institutions de l’Etat et autres partis politiques que les congolais auront une mémoire courte des corrompus et bandits de grands chemins devenus aujourd’hui des multimillionnaires sur base des avoirs assis sur de l’extorsion, de la gabegie, et de la corruption etc…
Par ailleurs, l’escroc libanais Ali EL SINESH, qui vit dans la clandestinité depuis un moment et que le FPI a engagé des poursuites contre lui, a servi de prête-nom à Monsieur Mbengele Constantin dans les dossiers fictifs SINCO et EVEREST… Cet homme est logé dans l’hôtel MERIBA appartenant justement à ce dernier… Quelle leçon de bonne gouvernance peut-on apprendre de cet ancien mandataire, devenu aujourd’hui « Honorable Député » (sic !)

LE FPI N’EST PAS UN BIEN FAMMILIAL, MAIS PLUTOT UN ETABLISSEMENT PUBLIC…
DOSSIER A SUIVRE…

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