RDC/Recherche scientifique : José Mpanda signe un scandale !

Par Itemi Georgine

La Recherche scientifique demeure la clé de voute pour le développement de tous les pays développés et émergents. Mais en RD Congo, ce secteur est malade. Aucun budget conséquent ne lui est accordé depuis plusieurs années. Pis encore, les différents ministres qui se sont succédés aux commandes du ministère de la  recherche scientifique depuis la mort de Mzée n’ont pas été à la hauteur de booster ce secteur stratégique.

C’est le cas du ministre sortant José Mpanda dont le bilan est médiocre. Tenez !  José Mpanda s’est illustré par des faits arbitraires et illégaux :

1.L’engagement pléthorique  et anarchique de ses frères et proches, sans aucune expertise voulue dans les centres de recherches dont le CNPRI, l’IGC, le CRGM, L’IRS…

José MPENDA Ponctionnerait arbitrairement une quotité auprès de centres de recherches.

A l’IGC, « il aurait imposé son grand-frère linguiste comme Directeur scientifique pour diriger les ingénieurs cartographes au mépris de la science », indique-t-on.

Au CNPRI, il aurait  imposé aussi son ami et associé, psychologue de formation pour diriger les physiciens, chimistes tout en lui joignant un membre de sa famille, une nouvelle unité ayant plus de 40 ans d’Age, nommé au mépris de procédures et exigences légales au rang de directeur.

Au CGEA, il ne cacherait pas sa colère face à la résistance du comité de gestion de céder à ses intimidations et ordres illégaux en matière d’engagement de ses recommandés et des quotités illégales.

Voilà, qu’il vient de signer un dernier scandale en prenant anarchiquement un arrêté qui viole les dispositions du code minier.Comme on peut le constater, José MPANDA prend un arrêté en date du 15 janvier 2021, alors que les conseils de ministre étaient suspendus pendant cette période  pour annuler l’arrêté interministériel du 5 juillet 2014 portant manuel des procédures de traçabilités des produits miniers. Plusieurs observateurs indiquent que cet arrêté de Mpanda serait antidaté. Car comment comprendre autrement qu’un arrêté signé le 15 janvier soit notifié un mois après, soit le 08 février par le secrétaire général.

(Dossier à suivre)

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