RDC/Victime d’harcèlement sexuel de la part d’un sujet indien,une fille a eu recours à des avocats pour plaider sa cause

Par JOK KAB


Depuis des décennies, il est fréquemment question des cas d’harcèlement sexuel à travers le monde. Aucun secteur n’échappe à ce fait social : la politique, le commerce, le cinéma, etc. Tout y passe. Pour des raisons difficiles à expliquer, les hommes n’arrivent plus à se dominer face à de belles femmes. Dans les entreprises publiques ou privées, les dirigeants moins sérieux se permettent même d’imposer des rapports sexuels à des candidates en quête d’emploi, sans tenir aucun compte de leurs compétences ou diplômes. La République démocratique du Congo n’échappe pas elle aussi, à ce phénomène qui n’honore pas du tout le sexe masculin. A des intervalles réguliers, les organisations de défense des droits humains signalent dans leurs rapports annuels ou mensuels, des cas d’harcèlement sexuel commis par les responsables des sociétés privées ou étatiques.


Tel est notamment le cas de la société dénommée Acokin. Une fille qui y travaillait tranquillement, a commencé à être l’objet d’avances sexuelles de la part de son patron, un certain Rocky, sujet indien. La fille a résisté jusqu’au moment où, n’en pouvant plus, elle a préféré dénoncer à haute voix le comportement inadmissible de son autorité. Pour que l’affaire ne soit pas dissimulée, elle a pris contact avec des contacts qui, à leur tour, ont adressé une lettre de protestation à la ministre chargée de genre, famille et enfants. Une autre lettre a été dirigée vers la ministre du travail afin que les deux membres du gouvernement examinent ce cas.
La ministre du Travail a, à son tour, instruit l’Inspection générale du travail afin de mener des enquêtes sur ce cas et de lui en faire rapport. L’on espère que des mesures exemplaires seront prises à l’encontre de ce sujet indien venu non pas pour travailler en RDC, mais plutôt pour chercher à abuser des filles congolaises.

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